N° 594 - Nov.22
ISSN : 0998-8041
Au sommaire de ce numéro :
Elsa Schiaparelli le dialogue de la mode et de l'art.
Rosa Bonheur en majesté au musée d'Orsay.
William Morris un pionnier du design.
Louis XV les passions d'un roi à Versailles.
Quand la céramique donne vie à la nature.
Pierre Rosenberg, le grand entretien.
Alors qu’il s’apprête à lancer une vaste campagne de redéploiement des collections, le président du musée d’Orsay élabore une programmation d’expositions tous azimuts : en faisant dialoguer au printemps Manet et Degas grâce à un partenariat avec le Met de New York ; à l’automne en retraçant les dernières années de Van Gogh à Auvers-sur-Oise avec la complicité du musée Van Gogh d’Amsterdam ; enfin l’année 2024 sera tout entière dévolue au 150e anniversaire de la naissance de l’impressionnisme, par le biais d’une grande exposition coorganisée avec la National Gallery of Art de Washington et la mise en place d’une dynamique de prêts en région. Christophe Leribault fait aujourd’hui le point pour L’Objet d’Art sur sa politique d’acquisition. / Propos recueillis par Nathalie d’Alincourt
Magazine : L'Objet d'Art n° 594 Page : 16-19
Rosa Bonheur (1822-1899)
Le musée des Beaux-Arts de Bordeaux et le musée d’Orsay se sont associés au château de Rosa Bonheur pour le bicentenaire de la naissance de l’artiste, afin d’organiser la rétrospective que l’on attendait depuis longtemps. En 200 œuvres, parmi lesquelles des tableaux jamais vus en France et des dessins inédits, le parcours accueilli à Bordeaux et attendu cet automne à Paris entend donner au public français l’aperçu le plus large possible de la production de Rosa Bonheur, à rebours...
n°299 - Juin 22
11,00 €
Sam Szafran. Obsessions d'un peintre
Ateliers, escaliers, feuillages : Sam Szafran (1934-2019) a inlassablement exploré quelques thèmes pour livrer, selon Jean Clair, l’un des œuvres les « plus secr[ets] et les plus poétiques de ce temps ». Au gré de soixante-dix pastels, aquarelles et fusains, le musée de l’Orangerie célèbre la trajectoire singulière et méconnue de cet artiste autodidacte qui a fait le choix audacieux de la figuration dans les années 1960.
n°162 - Sept.22
11,00 €
André Devambez. Vertiges de l'imagination
Prix de Rome, professeur aux Beaux-Arts, académicien, commandeur de la Légion d’honneur… Né sous le Second Empire, la même année que Bonnard, et disparu en 1944, André Devambez cumula tous les honneurs. Seul lui fut refusé celui de la postérité. Aujourd’hui largement méconnu du grand public, cet artiste éminemment sympathique à l’imagination débordante et à l’humour débridé sort enfin des limbes à l’occasion d’une ambitieuse rétrospective.
n°158 - Mars 22
11,00 €