N° 526 - septembre 2016
7,99 €
ISSN : 0998-8041
Au sommaire de ce numéro :
Après une longue et délicate restauration, la Vénus du Pardo vient d’être replacée dans la Salle des États du Louvre. Découvrez les circonstances de la création de cette grande toile empreinte de mystère.
Alors que le château de Vaux-le-Vicomte poursuit patiemment sa métamorphose, retour sur l’histoire et les récentes restaurations de ce domaine exceptionnellement conservé, jalon essentiel dans la genèse de l’art du Grand Siècle..
De toute beauté, l'œuvre de Fantin-Latour (1836-1904) est à l’honneur au musée du Luxembourg à travers plus de 150 tableaux, lithographies, dessins et photographies.
La XXVIIIe Biennale des Antiquaires ouvre ses portes sous la verrière du Grand Palais. Voici une sélection des plus belles œuvres à ne pas manquer au détour des stands.
Parmi tous les événements de la Biennale Off, une visite s'impose à la galerie Vallois qui rend hommage à Paul Iribe et à la galerie Kugel qui dévoile un exceptionnel ensemble d'automates datant de la Renaissance.
La galerie Kugel propose au public une exposition originale et rare, donnant l’occasion de découvrir un ensemble comparable à celui qu’on pouvait
trouver dans une kunstkammer vers 1600. Jamais une manifestation n’avait privilégié, comme elle, cette catégorie particulière d’horloges à automates. Au total, une trentaine de pièces permettent aux visiteurs de partager, un moment, la passion des princes de la Renaissance pour des jouets imitant la vie. Par Catherine Cardinal
Magazine : L'Estampille/L'Objet d'Art n° 526 Page : 116-121
HENRI FANTIN-LATOUR, À FLEUR DE PEAU
L'exposition au musée du Luxembourg du 14 septembre 2016 au 12 février 2017 (puis à Grenoble du 18 mars au 18 juin 2017) est la première rétrospective de l’œuvre de Henri Fantin-Latour (1836-1904) à Paris depuis l’exposition de référence consacrée au peintre dans les galeries nationales du Grand Palais en 1982. Cette exposition met en lumière les œuvres les plus emblématiques d’un artiste surtout connu pour ses natures mortes et ses portraits de groupe, et révèle également la...
n°104 - septembre 2016
11,00 €
MASSÉOT ABAQUESNE. L'ÉCLAT DE LA FAÏENCE À LA RENAISSANCE
Redécouvert au XIXe siècle après une éclipse de plus de trois cents ans, le nom de Masséot Abaquesne incarne aujourd’hui la faïence de la Renaissance française dans sa dimension la plus prestigieuse. Encore partiellement obscur, son parcours est jalonné par les somptueux pavements créés pour de puissants mécènes du royaume et par une vaste production de pièces de forme qui puisent dans le répertoire de la Renaissance bellifontaine. Le musée national de la Renaissance à Écouen lui...
n°239 - mai 2016
11,00 €