N° 468 - Mai 2011
ISSN : 0998-8041
Un numéro de mai particulièrement éclectique puisqu'il nous plonge au cœur des mystères de l'art dogon, fait la part belle à Édouard Manet, l'inventeur du moderne, et nous emmène à Londres, où une riche exposition témoigne du formidable mouvement esthétique qui unit tous les arts en Angleterre entre 1860 et 1900. Jan van Scorel, le maniériste hollandais qui fut séduit par l'Italie est également à l'honneur, puisque le lecteur pourra revivre la restauration du célèbre polytpyque de Marchiennes. Ce printemps est enfin marqué par la 34e édition du Carré Rive Gauche et révèle bien des surprises à la galerie des Gobelins, qui expose une vingtaine de tapisseries des plus grands artistes de la Renaissance italienne.
Descendant de trois générations de peintres (dont Augustin, son père), petit-neveu de Julie Manet qu'il a bien connue, Jean-Marie Rouart a brisé la chaîne de l'atavisme familial pour devenir écrivain et académicien. Dans son roman Une jeunesse à l'ombre de la lumière, il a évoqué son enfance et son adolescence baignées dans l'aura de Degas et de Manet, rythmées par des discussions enflammées sur la peinture et par des cris d'enfants jouant aux fléchettes entre les chefs-d'œuvre impressionnistes.
Magazine : L'Estampille/L'Objet d'Art n° 468 Page : 38-41
LA SCULPTURE BOURBONNAISE entre Moyen Âge et Renaissance
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